La crise de la gauche française laisse ses électeurs sans espoir d’avoir un candidat unique pour les élections du président de la République
par Marco Marano
Les élections françaises du président de la République, qui auront lieu l’année prochaine, en 2022, seron tenus dans un contexte politique beaucoup fragmenté. Une fragmentetion culturelle avant de tout, comme dans tous les pays européens.
La fragmentation culturelle et politique
Une fragmentation qui s’exprime avec le dualisme entre les gaullistes et l’extreme droite de Marine Le Pen, dualisme qui est toujours présent dans les deux ou trois dernières élections . Emmanuel Macron a profité de ce dualisme lors des dernières élections.
La victime principale de cette situation historique est le parti socialiste, qui aux dernières élections présidentielle a pratiquement disparu de la scène politique après la débâcle de Benoît Hamon.
Une nouvelle route?
Aujourd’hui, dans un contexte toujours fragmenté, le parti socialiste recherche une nouvelle route. Le premier secrétaire Olivier Faure, a confirmé que le parti organisera bien une primaire interne pour désigner son candidat à la présidentielle de 2022.
Les canditats aux primaire son trois: Anne Hidalgo, la maire de Paris, soutenu par le secrétaire, Stéphane Le Foll, Arnaud Montebourg. Le problème est que le parti socialiste doit affronter cette fragmentation politique, qui «diminuerait – a commenté le secrétaire – les chances de la gauche d’être présente au second tour».
Une situation très mauvaise
Les autres organisations politiques de gauche qui fait la course sont: Europe Écologie-Les Verts, La France insoumise et le Parti communiste. De plus en plus Faure, dans les dernièrs années, a évoqué a les autres partis a présenter un candidat unique pour la gauche, mais cette invocation aujourd’hui n’était pas encore acceptée.
Une situation très mauvaise pour les électeurs de la gauche française, qui déjà manifestaient durant les mois passés : les leaders n’ont aucun intention de trouver une solution commune comme demandent les électeurs.
Sources: Le Point avec Afp, France24 avec Afp, France Info
Credit AFP